Différent du capital d'une société ; en relation avec l'idée de mesure de la reliance d'un groupe d'acteurs, d'une société.

Dans le cadre d'une société de projet (ou de façon plus petite d'une équipe projet), c'est la valeur associée à l'unité de celle-ci.

"L'idée centrale est très simple : les réseaux sociaux ont une valeur. [...] les réseaux sociaux peuvent représenter un actif puissant tant pour les individus que pour les communautés d'individus." Putman

Acte de naissance du projet : document de gestion indispensable, devant exister avant le lancement effectif du projet, il est émis par l'acteur parrain (le sponsor) / commanditaire (le bailleur de fonds) du projet par lequel il exprime au minimum sa volonté de le faire exister, de le soutenir, ainsi que de transférer les pouvoirs et les soutiens matériels nécessaires au responsable du projet pour atteindre l'objectif suivant des axes de signification identifiés.

Dans le cadre d'un projet d'association d'entreprises (les acteurs commanditaires), ayant la volonté commune de réaliser un projet, une convention de groupement (ou un accord de développement, ou bien un simple "memorandum of understanding") peut tenir lieu de charte du projet. L'acteur tenant le rôle de responsable du projet y est explicitement nommé ainsi que tous les sujets représentant chacun les acteurs commanditaires (les parties signataires).

Lorsqu'un projet d'entreprise (l'acteur commanditaire) est très organisé et dont la principale activité est de réussir des projets, des procédures générales de gestion de projet sont établies. Une simple note de nomination du responsable du projet, avec une explication du contexte et des attentes, peut être considérée comme une charte du projet.

Dans le cadre d'un projet personnel, le sujet exprime franchement ce qu'il est prêt à transférer comme pouvoirs et soutiens à un responsable du projet s'il ne l'est pas lui-même (c'est alors le seul cas où la charte du projet n'est pas indispensable).

Suivant l'ISO 21506:2024 : « chemin critique : séquence d’activités qui détermine la date d’achèvement au plus tôt d’un projet ou d’une phase ».

Un choix (ou méta-connaissance de choix) est une connaissance sur un ensemble de connaissances associables ou séparables. Un choix dépend de la liberté de l'acteur. Par nature, le choix porte en lui-même un Risque.

Le comité de pilotage a une vocation opérationnelle de suivi régulier de l'avancement du projet et de prises des décisions relevant d'un champ de délégation.

Le comité stratégique (ou directeur) a une vocation plus stratégique et est en mesure de rendre des arbitrages qui dépassent les responsabilités des participants au comité de pilotage.

Une communication est l'action de partager des informations. Communiquer, c'est mettre en commun, partager des informations.

Une compétence est l'aptitude d'un acteur à produire certains actes dans un domaine et des conditions déterminées.

Une compétence intellectuelle est l'aptitude d'un sujet à produire des connaissances dans un domaine et dans son environnement.

Résultat vrai d'une procédure.

Un conseil est une règle dont les actions sont potentiellement à effectuer en fonction d'un choix.

Le constat est le document rédigé par un agent reconnu (expert, huissier…) constatant/ établissant la réalité, l'existence d'un fait matériel (la constatation).

Relier à l'environnement. C'est la démarche inverse de l'analyse cartésienne reposant sur la division en éléments de plus en plus simples (analyser/diviser).
L'inverse d'analyser n'est pas synthétiser, mais contextualiser.

Une contrainte se définit comme une obligation engendrée par les normes en vigueur dans un environnement donné, par les législations spécifiques à un domaine, ou par une nécessité impérieuse. Nous n'envisageons pas son acception sous forme d'acte ayant force exécutoire.

Un contrat/une convention est ce à quoi (la portée) les acteurs signataires (les parties contractantes) se sont engagés. C'est la concrétisation (l'acte) de la conformité des volontés des acteurs signataires.

Contrat désigne plutôt le document et Convention désigne plutôt le contenu (l'accord) du Contrat.

L'engagement qui résulte de la simple application de la loi est un "quasi-contrat" la loi faisant office de convention.

Des "termes et conditions" forment une Convention. Comme tout ne peut pas être écrit, si défiance il y a, elle ne peut être que partielle, car toute convention, même écrite, exprime par sa seule existence un fort degré de confiance des cocontractants.

La lettre d'intention (ou Memorandum Of Understanding, protocole, pré-accord...) n'est pas un contrat complet, parce que son objet est d'augmenter les chances de parvenir au contrat. Son territoire se situe en amont de celui du contrat en phase de négociation.

Remarque : il est toujours très enrichissant de passer du temps sur les définitions incluses dans un contrat avant même de lire ses clauses, c'est souvent très révélateur de l'esprit du contrat.

La structure de découpage contractuelle (Contract Work Breakdown Structure) représente l'ensemble des travaux et, au sens large, des obligations contractuelles acceptées par les cocontractants. C'est la référence contractuelle du projet.